Dans l’obscurité totale, mollement étirée sur son lit, au son de cette musique, elle se laissait aller…
Les notes mélodieuses se déversaient en elle, semblables à un nectar… Enveloppée par cette onde magique celle de la musique qui l’envahissait de toute part, son esprit insensiblement la projetait dans ce monde imaginaire féérique, là où tout est magique… lieu idyllique paisible où tout devient possible… plus de barrière, plus de frontière, plus de misère sur notre planisphère…
Enveloppée par ce voile vaporeux, cotonneux, si chaleureux, elle se laissait submerger… elle se sentait si bien, si apaisée, que rien, non rien de maléfique ne pouvait lui arriver…
« Comme la vie est belle, se dit-elle, tu as la chance de pouvoir ressentir tout cela grâce à… »
C’est à ce moment précis qu’elle mesura, à quel point les êtres qui se comprennent peuvent apporter aux autres… ces petits plus qui à un moment donné les rendent si heureux… Elle pensa si fort à cette personne qu’elle lui sembla présente…
Son bonheur en fut décuplé…
POEME fait à partir de mon premier texte en prose
Dans l’obscurité,
Sur son lit
Mollement étirée,
Au son de la musique
Elle se laissait aller…
Semblables à un nectar,
Se déversaient en elle
Ces notes mélodieuses…
Onde magique
De la musique
Qui l’enveloppait
L’envahissait…
Son esprit la projeta
Dans un lieu féérique
Monde imaginaire
Là, tout était magique….
Tout y était paisible
Tout devenait possible…
Plus de barrière,
Plus de frontière,
Plus de misère
Sur la terre….
Enveloppée
De ce voile vaporeux,
Cotonneux, si chaleureux
Elle se laissait submerger…
Apaisée, si bien,
Que rien… non vraiment rien
De maléfique n’arriverait…
« Que la vie est belle,
Se dit-elle,
Tu as de la chance…
Ressentir tout cela
Grâce à… »
A cet instant précis
Elle put mesurer
A quel point les êtres
Qui se comprennent
Peuvent s’apporter
Les uns aux autres…
Ces petits plus
Qui à un moment donné
Les rendent si heureux…
Elle pensa
Si fort à cet être
Qu’elle sentit sa présence…
Son bonheur en fut décuplé…